Dans la rue, les Algériens disent non à l’armée et sa présidentielle
Une foule compacte défile à nouveau vendredi dans le centre d'Alger, conspuant le chef d'état-major de l'armée, véritable homme fort du pays, et la présidentielle convoquée le 12 décembre par le pouvoir, a constaté un journaliste de l'AFP.
Depuis qu'il a obtenu la démission, le 2 avril, du...